[Libre] Boutique de robes et d'uniformes

Durmnaer.

Durmnaer, Durmnaer, Dumnaer, Dumnaer, Dumnaer...

C'est ce mot que Cléopâtre répétait du bout des lèvres depuis qu'elle avait quitté l'Institut où elle résidait depuis deux jours. Malgré son étude attentive de la langue bulgare depuis plusieurs mois, Cléopâtre avait encore des difficultés en la matière. Il y avait de nombreux mots qu'elle jugeait imprononçable et devait s'entrainer durant des heures pour les répéter en boucle. Bien sûr, ça aurait été plus simple si Stéphane avait bien voulu l'aider mais depuis la scène qu'il lui avait fait dans le hall d'entrée devant ses camarades, Cléopâtre ne s'était plus hasardée à lui adresser la parole. Le message était passé, elle n'était clairement pas la bienvenue et il avait probablement honte d'elle. Ça tombait bien : elle avait honte de lui. Mais avoir les larmes aux yeux lorsqu'on pensait cela n'était très crédible.

La jeune fille profitait de ne pas avoir cours cette après-midi pour aller prendre l'air. Plus vite elle aurait ses fournitures, mieux ça vaudrait pour elle. C'est donc dans le boulevard Kra-ï-ev-ski... Kraïevski, c'est ça, que Cléopâtre se dirigea pour aller trouver la boutique qu'il lui fallait. Elle espérait vainement que le gérant sache parler français, mais il ne fallait pas rêver trop non plus... Elle avait déjà mis une heure à trouver son chemin et encore, c'était relativement court par rapport à ce que lui avait prévu ses nouveaux camarades de maison. Evidemment, personne n'avait voulu lui filer un coup de main. Au moins, elle n'avait pas à craindre que certains l'aient suivis pour se moquer d'elle. Les gens d'ici semblaient trouver ça plus important de bosser entre eux, de discuter entre eux plutôt que d'aller suivre les p'tits nouveaux pour se payer leur tête. Un point pour la maturité des garçons de Durmstrang et moins un pour la puérilité des filles de Beauxbâtons!

Enfin, Cléopâtre arriva devant la boutique. Du moins le soupçonna-t-elle en voyant l'intérieur de la boutique depuis l'extérieur. Naturellement, Cléopâtre actionna la poignée sans brusquerie et pénétra les lieux avec délicatesse. C'était extrêmement chaleureux et le regard de Cléo balaya son environnement avant qu'une petite dame un peu ronde face son apparition, les cheveux en pétard mais très inquiète pour sa cliente. Cléo lui sourit et tenta quelques mots en bulgare :

"Bonjour! Ce serait pour acheter un uniforme pour Durmstrang."

Durmstrang. C'était le seul mot de la phrase qu'elle était sûre de prononcer correctement. Elle avait toujours du mal avec le mot "uniforme", mais ça venait. Elle espérait au moins s'être fait comprendre de la vendeuse.

La petite dame semblait très enthousiaste à l'idée de la servir, ce qui déstabilisa quelque peu Cléopâtre. Elle avait l'habitude de la dureté et de l'exigence de la mode française, pas à la chaleur des femmes bulgares. Quelque chose lui disait qu'elle allait aimer davantage ce pays qu'elle ne l'avait crut la veille. Déjà, les bons points s'accumulaient quand on oubliait ses difficultés avec la langue et son froid avec son frère. Et le fait qu'elle connaissait personne. Mais ce dernier point était peut-être une bonne chose à bien des égards!

Cléopâtre réussit à saisir le sens de la phrase de la femme très souriante qui repartit, tel un ouragan, dans sa boutique. Cléo se pencha en avant pour voir où elle avait disparu mais la vendeuse revint bien vite avec un uniforme proprement repassé en lui demandant si elle voulait... l'essayer? Probablement. En même temps, la française ne voyait pas quel autre mot aurait pu convenir. La Deris n'était pas du genre à aimer faire du shopping et redoutait généralement ce genre de séance d'essayage où l'inspectait sous toutes les coutures, on la piquait avec des aiguilles, on la tournait dans tous les sens avant de la faire attendre pour refaire un essayage... Mais la dame semblait si chaleureuse et l'uniforme si confortable, que Cléo se laissa tenter.

Avec un sourire timide mais sincère, la jeune fille répondit :

"... Oui, je veux bien!"

Cléopâtre suivit docilement la petite dame replète dans sa boutique où régnait un sombre bazar jusqu'à un endroit organisé de manière à ce qu'il soit confortable entre coussins rembourrés, miroirs délicatement dessiné et d'une élégance rare, doux tapis et fauteuil appelant à ce qu'on les utilise. Cléo, timidement, s'y aventura. Visiblement, c'était l'endroit que la vendeuse avait aménagé au milieu du bazar ambiant pour que ses clients puissent essayer leurs vêtements. Et c'était agréable. La jeune fille se tourna vers la vendeuse pour lui adresser un sourire pour lui signifier qu'elle appréciait les lieux.

La vendeuse dû prendre son sourire comme une invitation à parler car elle s'appliqua à déplier son uniforme et à lui expliquer la fonction de la tunique, de la cape, du pantalon et des bottes que composait l'uniforme. Pour l'instant, son uniforme ne comportait que la tunique et le pantalon qu'elle l'invita à essayer tandis qu'elle allait récupérer le reste. Cléopâtre prit la tunique qu'elle étudia du regard. En tant que Zemlya, son uniforme était d'une couleur joliment vert, même si ce n'était pas sa couleur préférée. De la douce fourrure recouvrait l'intérieur du vêtements ainsi que son col et les manches. La jeune fille décida donc d'obéir docilement et retira son blouson en jean, rapporté de France et qui ne réchauffait guère mais décida de garder son tee-shirt blanc léger qu'elle avait sous son pull gris qu'elle retira également. Une fois sa tresse rejetée dans son dos, la jeune fille retira son pantalon pour essayer celui que la petite dame lui avait mis à disposition. Elle y rentra sans problème -même si ça n'avait rien d'étonnant - mais surtout lui tenait la taille une fois le bouton mis et la fermeture remontée.

Cléopâtre se regarda dans le miroir un moment. Les pattes du pantalon ne lui serraient -heureusement - pas les chevilles, contrairement à la mode française qui voulait qu'un pantalon moule ses jambes jusqu'aux chevilles, ce qu'elle trouvait aussi horrible à regarder qu'à porter. Sans être particulièrement grand, il était agréable à porter et, en faisant quelques pas, n'eut pas l'impression de ressembler à un crabe de feu. Elle enfila ensuite la tunique, se décoiffant quelque peu au passage et repoussa les petits cheveux qui étaient sortit de la tresse. Elle referma sa tunique jusqu'en haut du cou et décoinça sa tresse, la laissant tomber sur son épaule. Puis elle se regarda dans le miroir.

Cléopâtre avait toujours aimé les uniformes français. Ils étaient légers, agréable à porter et franchement super beau. Mais ils étaient aussi fait pour des femmes avec un minimum de poitrine, plus qu'elle n'en avait et celles qui aimaient montrer leurs jambes. Et ce n'était pas son cas. L'uniforme lui seyait étonnamment bien. Il épousait ses courbes sans problèmes mais ne lui donnait pas l'impression d'être un boudin saucissonné. Elle aimait bien que ça monte jusqu'au cou aussi. Elle rouvrit la fermeture pour rabattre le col qui présentait de la fourrure à l'intérieur et à l'extérieur pour le rabattre sur ses épaules. Elle avait presque l'impression d'être jolie. Ou plutôt, elle avait l'impression d'être presque jolie. Cela lui donnait un petit coté féminin subtile, une image de bonne élève sage mais dure également. Elle aurait pu conquérir le monde!

Cette pensée lui tira un sourire. Tout ça à cause d'un uniforme. Il était peut-être agréable de penser qu'il lui donnait une autre image, mais il ne changeait pas ce qu'elle était.

Alors que Cléopâtre était en train d'essayer l'uniforme, la vendeuse revint. La jeune fille cessa de se contempler, d'oser imaginer qu'elle pouvait jolie pour adopter une attitude plus modeste et, surtout, moins prétentieuse. La vendeuse lui présenta sa cape et ses bottes et Cléopâtre prit la cape pour la mettre sur ses épaules. En effet, la dame n'avait pas tort, la cape semblait très lourde mais ne l'était pas tant que ça... Pourtant, elle était loin d'être légère. Cléopâtre fut dispensé de se ridiculiser en essayant d'attacher sa cape par la sonnette. La vendeuse s'excusa d'un sourire que Cléo lui rendit.

Alors qu'elle essayait, tant bien que mal, d'attacher, grâce à l'épingle, les des extrémités de la cape, Cléopâtre entendit qu'il s'agissait d'un garçon qui venait d'entrer. Sa voix, s'exprimant dans la langue gutturale qu'était la langue bulgare. Même de loin, il ne fallait pas être très malin pour deviner, entre ce qu'elle comprenait et un minimum de logique, qu'il venait ici pour acheter un uniforme. Cléopâtre lâcha sa cape pour jeter un coup d'oeil. Elle avait vu le jeune homme lors du banquet de début d'année. Il avait un visage comme on n'en oublie pas. D'autant plus qu'elle s'était pas la réflexion, en le voyant, que si les autres filles de Beauxbâtons le voyaient, beuacoup regretteraient de ne pas être venu. Étonnamment, à ses yeux, il n'avait pas de charme particulier. Trop classique, trop sévère. Pas agréable.

Sa curiosité satisfaite, Cléo allait retourner à son essayage quand la porte s'ouvrit de nouveau. Un coup d'oeil l'informa qu'il s'agissait d'un jeune garçon, bien plus jeune qu'elle. Probablement un garçon de 10-11 ans. Peut-être 12 ans, grand maximum. Désireux, tout autant que le grand bonhomme, de se voir être fournit d'un uniforme pour Durmstrang. Retournant à sa bataille avec sa cape, Cléopâtre entendit le nom de leurs maisons. Okay. Donc, techniquement, des ennemis. Génial...

Ah! L'épingle s'accrocha enfin à l'autre extrémité de la cape. Cléo tourna sur elle-même, faisant voler sa cape... qui ne l'étrangla pas au passage. Merveilleux! La jeune fille décrocha la cape de ses épaules. pour mettre ses bottes. Plus facile à faire sans ce truc sur ses épaules. Douce à souhait, ses bottes étaient piles à sa taille. Comme le lui demandait sa mère comme elle essayait de nouvelles chaussures, la jeune fille fit quelques pas entre le fauteuil et le miroir et fut assez satisfaite du rendu physique de son allure autant que du confort de l'uniforme. En souriant, Cléo se demanda si elle n'allait pas rester à Durmstrang tout compte fait!

Ne sachant que faire maintenant qu'elle avait essayé tout cela, hésitant à partir ainsi à habiller, ce qui serait certainement plus chaud que les vêtements avec lesquels elle était venue, Cléo attendit de voir revenir la vendeuse avec hâte.

« On continue les achats ! »

A la boutique de robes et d'uniformes

Ma baguette dans la poche intérieure de mon manteau et ma main tenant un sac remplis de livre, j'eu du mal à atteindre le Boulevard Kraïevski. Mon bras me faisais souffrir à force de porter mon sac de livre, oui parce que comme un fait exprès, les manuels scolaires n'étaient pas des petits bouquins, non ce serait trop simple. Lorsque j'atteins enfin ma destination, à savoir la boutique d'uniforme, je poussais un soupir de soulagement. J’actionne la poignée et entre dans la boutique remplie d'étoffes et des rubans de toutes les couleurs. Il y en avait tellement partout qu'on se demandait comment faisait la vendeuse pour se retrouver dans tous ses tissus. Je change mon sac de bras en m'avança vers la femme avec un sourire.

« Bonjour, je viens pour un uniforme pour Durmstrang de la maison Zemlya, ainsi qu'une cape simple et d'hiver. »

Codage by TAC

« C'est pas ma journée ... »

Oh làlà, j’allais vraiment mettre des jours et des jours à m’en remettre ! Dépenser autant d’argent dans des fournitures scolaires … c’était bien inhumain ! Personne n’avait donc pensé que tous les sorciers n’étaient pas aussi riche et que pour eux, une baguette, des bouquins et tout le bordel sur la liste était de trop ? Alors que je me dirigeais vers la boutique des robes de sorciers je soupirais. Il y avait même des articles pour lesquels je n’avais pas la moindre idée d’où les trouver dans cette ville que je connaissais à peine. J’avais eu de la chance jusqu’à maintenant parce que les choses dont j’avais besoin étaient située dans des boutiques très proches mais je ne voyais rien où je puisse acheter un chaudron où une balance … Je poussais la porte de la boutique et la sonnerie tintinnabula. Un garçon que je ne connaissais pas (encore) était déjà là et attendais que la vendeuse lui apporte ses affaires. L’agacement pointa dans ma tête. Il semblait bien que le garçon était déjà dans la boutique de bouquin avant moi. Ok, ptêtre qu’il est aussi en première année, mais sérieusement, il ne peut pas me laisser acheter mes fournitures aussi sans avoir à patienter derrière lui à chaque fois ? Je croyais qu’on n’était pas très nombreux à Durmstrang alors pour ce gêner de la sorte il faut vraiment le vouloir … Où vraiment pas avoir de bol pour faire sa rentrée en même temps !
Je décidais de rester sur le côté en attendant que la vendeuse en ait finie avec le garçon pour passer commande. Je jetais un coup d’œil rapide, très rapide, super méga rapide même, sur les prix et j’avalais difficilement ma salive. Je baissais la tête, vaincu. Bon ok, j’allais devoir me ruiner pour mes fournitures et je ne pourrais sans doute même pas rembourser mes parents pour ça …

« Hurry ! »

La vendeuse pris la commande du garçon qui était avant moi. Je détaillais les articles de la boutique d’un air désespéré. Je détestais faire du shopping et m’acheter de nouveaux vêtements m’agaçait fortement. Mais en même temps c’était sur ma liste des choses que je devais avoir pour l’école alors je n’avais pas vraiment le choix n’est-ce pas ? La vendeuse remarqua ma présence et tandis que le jeune homme se décidait elle me demanda ce dont j’avais besoin avec un sourire sur le visage. Bon, au moins la vendeuse avait l’air sympathique, ce qui atténuait légèrement cette dramatique journée de dépenses.

- Bonjour, oui en effet vous pouvez surement m’aider, j’ai besoin de l’uniforme de Durmstrang des Vodas, d'un chapeau de sorcier ainsi qu’une cape simple et une d’hiver s’il vous plait.

Je patientais alors, tout en espérant qu'elle ne mettrais pas trop de temps à trouver ce que je cherchais car je n'avais pas tellement envie de m'éterniser et j'avais d'autres choses à faire.

« On continue les achats ! »

A la boutique de robes et d'uniformes

Je terminais de formuler ma demande à la vendeuse quand un nouveau client arriva dans la boutique. Ce garçon était déjà là dans la librairie et le voici maintenant dans la boutique de robe, était-il aussi en première année ? Je reportais mon attention sur la vendeuse lorsqu'elle revint avec les capes et un costume vert qui me fit hausser un sourcil. Il fallait vraiment que je porte ça ?! C'était bien trop coloré à mon goût, moi qui avait l'habitude de porter seulement du noir.

Je hochais la tête, pris le costume que la vendeuse m'avait apporté et me dirigea dans l'une des cabines pendant qu'elle s'occupait de l'autre garçon. J’enfilais le costume qui jurait atrocement avec la couleur de mes yeux et qui me donnais l'air d'une grande asperge. Mais bon, le costume était obligatoire au sein de l'Institut et si je ne voulais pas me faire taper sur les doigts j'avais plutôt intérêt à le prendre, surtout que le costume était parfaitement à ma taille. Je l'enlevais pour renfiler mes habits noirs et sortie de la cabine le sourire aux lèvres.

« Il me va très bien, combien je vous dois pour le tout ? »

Codage by TAC

Le patriarche de la famille Nikolov sortit de la boutique de l'apothicaire pour traverser la rue et entrer dans la boutique qui se trouvait juste en face. Il s'agissait de sa dernière course de la journée, ensuite, il pourrait rentrer à Durmstrang et travailler sans problème. Davin appella un elfe de maison pour qu'il emmène ses achats dans son bureau avant de traverser la rue d'un pas ferme pour pousser la porte de la boutique des robes et des uniformes du boulevard. Le vieil homme n'avait pas beaucoup grandit depuis la dernière fois qu'il était passé par cette boutique, loin s'en faut, mais ces robes s'usaient. Il avait donc passé commande deux semaines auparavant pour des vêtements cousus mains, avec ses mesures fournies dans la demande. Le sorcier venait donc retirer sa commande avant de rentrer à l'Institut.

Le sorcier Nikolov poussa la porte de la boutique et se dirigea vers le comptoir où l'attendait une femme un peu ronde mais dont il connaissait la poigne et passionnée par son travail. Le genre d'artisans et de vendeurs qui seraient verts de honte s'ils vendaient un mauvais bien de piètre qualité. Le genre de boutique où Davin était presque sûr de trouver de l'excellence qualité. C'était d'ailleurs pour cela qu'il venait ici. En échange, sa venue ne pouvait qu'ajouter à la réputation de la boutique.

"Bonjour, madame. Je viens retirer ma commande : cinqs robes de sorciers, une ceinture de cuir, trois capes d'hiver et trois capes simples, deux rouge et une verte et jaune de chaque, ainsi que deux paires de gants protecteurs."

Tout sorcier qui se respecte prenait également un chapeau de sorcier mais Davin n'avait jamais eu ce qu'on appelle une tête à chapeau. Il avait cesser d'en porter à la mort de son paternel. C'était d'ailleurs le seul élément qui avait changé dans sa vie quand son père était mort, le seul élément qu'il avait modifié. Les quatre capes rouges étaient adaptables à sa fonction de directeur-adjoint comme de patriarche bien que celles pour sa vie privé soient plus cuivré et celle pour Durmstrang tirant vers le noir. Quant aux vertes, elles s'adaptaient à sa fonction de directeur de Zemlya et de professeur.

Le patriarche de la famille Nikolov hocha la tête alors que la vendeuse lui demandait de patienter. En attendant, il regarda les lieux d'un oeil critique sans émettre le moindre commentaire. Faire ses achats lui-même de temps en temps était une bonne chose, cela lui rappelait à quel point c'était une perte de temps et qu'il avait de la chance et le bon sens d'envoyer des elfes de maisons le faire pour lui habituellement. Mais il fallait tous, plus ou moins, passer par là un jour. C'était un contact qui lui rappelait la réalité que vivait tous les sorciers lambdas. Et que ce n'était définitivement pas son destin de vivre de la même manière que les autres sorciers qu'il plaignait véritablement.

La vendeuse empressée revint rapidement et lui posa sur le comptoir la commande qu'il avait passé en lui donnant le prix de ce qu'il voulait lui acheter. Le directeur-adjoint de Durmstrang sortit des pièces dorés de son porte-feuille et déposa 51 Gallions sur le comptoir pour lui laisser un petit pourboire. La vendeuse était une femme appliqué, bien que pipelette et simplette. Le sorcier se tourna pour appeler l'un de ses elfes pour lui confier la commande puis il salua la vendeuse avant de sortir. Les achats, il en avait finit pour aujourd'hui et il avait hâte de rentrer à Dursmtrang!

HRP:

« On continue les achats ! »

A la boutique de robes et d'uniformes

La vendeuse avait l'air d'être déçue de ne pas m'avoir vu dans cette affreuse robe verte flashi. Franchement, en-dehors de l'institut, je n'allais pas me promener comme ça dans la rue, et puis quand encore ? Je tenais à mon image... c'est moi qui vient de dire ça ? Ça ne tournais plus rond dans ma tête.

J'attends que la vendeuse me donne son prix tandis que je sors ma bourse de ma poche. 12 Gallions et des patates ? Seulement ? Je pose la somme demandée sur le comptoir avant de prendre mes biens.

« Merci madame, bonne journée. »

J'avais encore beaucoup à faire, je ne devais pas trop traîner et puis bavarder avec une vendeuse n'était pas dans mes objectifs aujourd'hui.

Codage by TAC